Mi Amor
Album 11 titres
Chant / Guitares : Fred TAVERNIER
Guitares : Fab TRANZER, Julien HERT
Basses : Franck BEDEZ, Bill OTTOMO
Batteries : Patrick PULLEDA, Ced MACHI
Harmonica : Philippe HAMMEL
Mix / Mastering : Bill OTTOMO
Prod : TRY & DYE RECORDS
Pochette : Noémie CHEVAUX
…Ton petit sourire coquin
Et mon oeil sur tes seins
Cachés croisés sous le tissu
Je te devine entièrement nue
…Ton rire quand tu me lis
Ta bouche quand je te dis
Que tu m’énerves et tu le sais
Jeu dangereux et ça te plait
J’ai adoré, adoré, te regarder
J’ai adoré, adoré, j’ai adoré t’imaginer
J’ai adoré, adoré, j’ai adoré…
…Ta pose sur le canapé
Ta moue vexée quand acculée
L’effronterie de ta jeunesse
Je commence par quelle fesse ?
…Regards en coin et ambigus
Nos airs de rien, nos mots crus
Laissons nos idées nous traverser
Lions nos gestes à nos pensées
Refrain
…Ton souffle chaud
Ta joue contre ma peau
Ta taille entre mes mains
Mais je fantasme, ce n’est rien
…Que l’on se quitte comme chaque fois
Que l’on s’effleure de nos doigts
Que l’amitié en amour se taille
Que l’on s’évade, que l’on s’en aille
…Ton souvenir cette nuit
Ces mots qui sortent sans bruit
Je suis patient mais tu le sais
Un jour je te croquerai…
Mi Amor
je te veux, je te mords
Mi Trésor
en Argent et Or
Encore et encore
Jouer celui qui n’est pas mort
Immortel
Je te veux, je te vois, tu es belle
Hummm tu es belle
Bois mon sang
C’est le fruit de mon corps
Mange ma peau
le fruit de mon cerveau
Je suis là
Terrifiant et fuyant
Mi Amor
Je te veux tout de suite, maintenant
Oh oui, maintenant
Mi Amor
bientôt caressante
Emportée
Par cette de renaissance
Je t’emmène
par delà les cieux
Et si tu veux
Tu feras de moi ce que tu veux
Allez, ce que tu veux
Mon Amour
Près de toi, tout le temps, tous les jours
Maille après maille
Que la lune éclaire nos poitrails
Dressés contre le vent
Dressés contre le temps
Irréel
Je te veux, je te vois, tu es celle
Qui m’attend
Mise à mort
Par la raison du plus fort
Qui dicte nos vies
Et l’arrière-train nous élargit
Moi je t’emmène
Dans un autre pays
Je t’emmène
Au Pays de Candy
Tu m’crois pas, viens ici
là, près de moi
Vas-y, rapproche toi
Dans mes bras
Redescend je suis là
Juste Là !
Luna la belle est une enfant
Qui observe le monde et qui comprend
Que sa poupée Rose Violette
Elle aussi attend le prince charmant
Luna du haut de ses 5 ans
Rote et pète à table, c’est une enfant
Et j’peux vous dire qu’ça sent pas la violette
Elle, ça la fait rire, pas sa maman
Luna, écoute ses mots que je t’écris
Ecoute c’est papa qui te dis
Qu’il t’aime plus fort qu’un géant
Luna, je n’ai pas fini de grandir
et avant d’avoir fini de t’écrire
Passe passe passe le temps
Luna pipelette parle tout le temps
Ca en devient décourageant
Moi qui voulait temps une gonzesse
J’en ai une pur jus, sang pour sang
Luna aime le soleil du printemps
Cendrillon et Peter Pan
Les bonbons et puis les sucettes
Elle s’en fout elle va perdre ses dents
Luna, écoute ses mots que je t’écris
Ecoute c’est papa qui te dis
Qu’il t’aime plus fort que l’Prince Charmant
Luna, je n’ai pas fini de grandir
et avant d’avoir fini de t’écrire
Passe passe passe le temps
Reste toujours près de Maman
Et près de moi évidemment
De l’amour te donnons la recette
Que nous gardons précieusement
Luna, écoute ses mots que je t’écris
Ecoute c’est papa qui te dis
Qu’il t’aime plus fort… qu’un éléphant ?
Luna, je n’ai pas fini de grandir
et avant d’avoir fini de t’écrire
Passe passe passe le temps
Luna, écoute ses mots que je te cris
Ecoute c’est papa qui te dis
Que je t’aime plus fort que ma vie
Luna : Moi aussi je t’aime mon Papa chéri
Couché au fond de la rivière
Ophélie
La lumière lui passe au travers
C’est joli
Je la regarde comme elle s’enroule
Sous le courant qui déboule
Ses longs cheveux sont démêlés
A moitié nu, touché – coulé
Doucement je caresse ses doigts
Ophélie
Ses yeux mi-clos ne me voient pas
Elle roupille
Elle ne sait pas ce qu’elle loupe
En ce moment j’ai l’vent en poupe
Les fils du câble sont dénudés
Bombe nucléaire, de l’air, de l’air
Ophélie
Allongé dans ton lit
Je ne sais pas ce qui t’as pris
De mettre fin à ta vie
Ophélie
Petite bulle dans l’océan
De mes délires assourdissants
Où je m’enlise profondément
Tombé au fond comme une pierre
Ophélie
Tu n’entends pas toutes mes prières
Oh Marie
J’aurais pu prendre soin de toi
Mais te voir sans cet état
On aurait pu s’laisser aller
Et dans notre amour se noyer
Ophélie
Allongé dans ton lit
Je ne sais pas ce qui t’as pris
De mettre fin à ta vie
Ophélie
Petite bulle dans l’océan
De mes délires assourdissants
Où je m’enlise profondément
Je vais éteindre maintenant
Ophélie
Et te dire qu’il est encore temps
Toute la vie
Le voile bleu devant mes yeux
Le sable fin dans tes cheveux
Etre juste à tes côtés
Quitte à finir tout mouillé
Ophélie
Allongé dans ton lit
Je ne sais pas ce qui t’as pris
De mettre fin à ta vie
Ophélie
Petite bulle dans l’océan
De mes délires assourdissants
Où je m’enlise profondément
Pour introduire ma chanson
j’dirais qu’c’est une ballade un rien stérile
Ecrit dans un état fébrile
une chanson pour faire la fête
avec tambours et trompettes
Je tue ils,
ainsi soit-il,
enfin paraît-il
Putain j’ai perdu le fil
Je sais c’est malhabile,
de commencer dans ce style,
J’assume complètement
j’suis décevant
Pan pan pan
Soyez vigilant
je ne suis pas chargé à blanc
Cette histoire commence par un coup d’fusil
et c’est souvent par là que cela fini…
Je ne dis que ce que je pense
Et je l’enrobe pour que l’on danse
Pour que l’on pleure ou que l’on rit
qu’on oubli pas ce que je dis
1,2,3, En bons petits soldats, ils auront au bois
En marchant au pas
4,5,6, Hommes Politix, Aux idées bien trop fixes
Vivent comme des rois, choubidoua
7,8,9, Dans mon groupe tout neuf,
Je tue la poule dans l’oeuf
Engraissé de pétrole et d’argent
Tout doucement mais sûrement
Ca y est j’ai plombé l’ambiance
A toujours dire ce que je pense
Mais que l’on meure ou que l’on vit
Pourvu qu’on oubli pas ce que je dis
10,11,12, Attention t’es près j’allume les news,
Eloignez les enfants
non mais t’as vu ce temps !
13 et des milliers, grain de sables asséchés,
ils crèvent enlacés
Tout doucement, tout doucement
Nous sommes des millions, sacré bande de cons,
nous filons vite et nous passons,
C’que nous laissons c’est affligeant
C’que nous laissons à nos enfants
Ca y est c’est bien définitif
Mes mots ont encore traduit mes pensées
J’suis désolé j’ai les nerfs à vifs
Et J’ai bien envie de tout faire péter
Je tue ils, Tout cela doit changer,
Ne jouons plus à face ou pile
Je tue il, il te tue, trop docile, ils me tuent,
Je tue ils, je tu il, je me tue à te dire qu’ils,
sont tous débiles…
Tour à tour
Bars et baratin
Nuit et jour
Soir et matin
Compte et débours,
En toi, Emoi, la démesure
Trois p’tits tours
Va et vient dans la mesure
Ma vie glisse entre 10 doigts
Je suis gonflé de tout mon sang
Je bouillonne et je sue
Et je tourne d’un geste lent
J’avance et je recule
Un esprit me frôle
Comment veux tu, comment veux tu
Comment veux tu que je t’en…rôle
J’aime regarder, exciter, titiller,
Tester dans toutes les positions
Tout le Kama sur toi
Car je suis… Un petit cochon
Mes mains par tes seins aimantées
J’imagine de nouvelles connexions
En toi j’en suis à 2 doigts de prouver
Que je suis… Un petit cochon
Assoiffée sur le lit, vide
Lutte acharnée pour la dernière goutte
Accroché au parois
Par une liane au corps de braise
Pour la vidange
Faut payer monsieur…
Avant de sauter
Assurez vous de n’avoir rien oublié
Sur le lit de feuille
Je couche mon cerveau
Et pas trop loin
Le reste de mes os
Un dernier regard
Vrillé sur le miroir
Allez un dernier coup patron
La même chose ! Noir
J’aime regarder, exciter, titiller,
Tester dans toutes les positions
Tout le Kama sous toi
Car je suis… Un petit cochon
Mes mains par tes seins aimantées
J’imagine de nouvelles connexions
En toi j’en suis à 2 doigts de prouver
Que je suis… Un petit cochon
Mon petit bonbon sucré
A croquer, à sucer
Par ma langue experte
Je te laisse inerte
Et je rêve sur ton corps
Encore chaud de nos ébats
Ma main sur ton sein
Mon regard sur tes reins
Tu es ma lumière dans le noir
Petit bout d’Amérique
Moi le marin sans espoir
Conquérant héroïque
Où es tu quand tu vagabondes
Dans quels bras dans quel monde
Ton sable chaud rythme mon sang
Ton ventre bouge lentement
Mon petit bonbon sucré
Ma pause douceur mon praliné
Mon petit bonbon sucré je t’aime à te croquer
Le temps qui passe sur nos vies
Laisse des marques des envies
Seras tu toujours comblée
Heureuse à mes côtés
Te laisseras tu séduire
Par l’attrait de la nouveauté
L’odeur d’un autre empire
La force d’une autre armée
Si peur d’être là sans toi
Je te caresse et te dévore
Le roi est mort vive le roi
Ne me quitte pas avant ma mort
Je te regarde et je t’aime
Je serais grand je serais beau
Tu aimeras mon goût de miel
Nous échangerons nos idées…Ohhh
Mon petit bonbon sucré
Ma friandise mon praliné
Mon petit bonbon sucré je vais me consumer
Mon petit bonbon sucré
Hummmm sweet candy mon praliné
Mon petit bonbon sucré Je vais te dévorer
Petit bonbon sucré
Ma tagada, mon praliné
Mon sucre d’orge acidulé
Je t’aime à en crever
A peu près toutes les deux minutes
B aisers doux se posent sur ma bouche
C brûlant, mais jamais je ne lutte
D ésormais non plus rien ne me touche
E j’avale la fumée parfumée, pour…
F acer mes emmerdes et mes doutes
G me bien l’effet que tu me fait
H 2O, pur sang et boule de foutre
I l suffit de se laisser porter
J plonge encore un peu plus chaque nuit
K après ça je meurs d’un excès, tel…
L ment seul malgré tout j’aurais jouit
M me moi ma fleur vénéneuse
N attend pas que je sois loin de toi
O se tout et dans mes veines creuses
P énetre moi et loin emmène moi
Q une fois au moins je m’éparpille
R en moi et parcoure mon corps
S ce c’la qui fait que je te grille
T caresses m’essouflent et je m’endors
U ne fois mes cendres jetées en l’air, é…
V eille en moi la force de ma pensée
W hy sera la question et j’espère
X ité toutes les curiosités
Y a qu’un pas entre moi et la chute
Z’aime les fleurs qui partent en fumée
Mon amie Emilie
Est la plus jolie au monde
Elle aime les filles
Et les garçons ……aussi
Elle a de petits seins
Et des grands yeux très sombres
Dans le creux de sa main
Les lignes de nos vies se fondent
Depuis si longtemps je la connais
Depuis tout ce temps elle me supporte
Mon amie Emilie
Sacré bout de fille
Si seulement j’osais sonner à ta porte
Mon amie Emilie
La plus sexy de la ronde
Elle profite de la vie
Avant que la faucille ne tombe
Quand elle part le matin
Moi je reste caché dans l’ombre
A rêver que demain
Nous ferons le tour du monde
Depuis si longtemps je l’aime en secret
Depuis tout ce temps que je l’escorte
Mon amie Emilie
Ma meilleure amie
Si elle savait l’amour que je lui porte
Mon amie Emilie
la fille la plus gentille au monde
Dans la chaleur de son lit
Elle reste jusqu’à des heures immondes
Elle aime les petits riens
Et pieds nus dans le sable
Regarde les étoiles
Et l’univers instable – Et la terre tourner
Depuis si longtemps que je me tais
Depuis trop de temps je fais semblant
Mon amie Emilie
Amour de ma vie
Ouvre moi ton cœur et ta porte
Tu es prête au combat
Ce matin bien décidé à vivre
Affûte ton âme, chauffe ta voix
Ne plus te taire pour être libre
Ne plus accepter par erreur
Ignorance ou soumission
La peur, la honte et la douleur,
Le poids de ta propre religion,
Ne plus être de celle
Qui subit les coups sans broncher
Tu seras forte et tellement belle
tu as mérité ta liberté
Relève la tête, gonfle ton cœur
Nous avons tant à partager
Oublie ta haine petite soeur
Profite de la vie sans te voiler
Et si parfois la tristesse est de mise
Dis toi que tu n’es ni pute ni soumise
tu tires derrière toi ton histoire
Et tu subis le quotidien
Mais toujours tu gardes l’espoir
Et t’accroches à des petits riens
L’homme ignorant qui t’a violé
Celui qui te bat ou te rabaisse
Tu ne pourras leur pardonner
Ils ont fait de toi une tigresse
Mais tu fais la part des choses
Tu sais qu’une main est tendue
Qui t’feras voir la vie en rose
Et le respect tant attendu
Relève la tête, gonfle ton cœur
Nous avons tant à partager
Oublie ta haine petite soeur
Profite de la vie sans te voiler
Et si parfois la tristesse est de mise
Dis toi que tu n’es ni pute ni soumise
Aujourd’hui tu marches dans les rues
Sans baisser les yeux, le regard fier,
La tête haute, la tête nue,
Plus jamais ne te laisser faire
Tu es une femme au sang mêlé
Respectueuse de tes racines
Les yeux en amandes, les cheveux tressés
Tu n’as commis aucun crime
Tu es prête au combat
Aujourd’hui décidé à vivre
Et tu peux être fier de toi
Car tu te bats pour rester libre
Relève la tête, gonfle ton cœur
Nous avons tant à partager
Oublie ta haine petite soeur
Profite de la vie sans te voiler
Et si parfois la tristesse est de mise
Dis toi que tu n’es ni pute ni soumise
Dormi trop près du téléphone,
Mon oreille n’a pas tenu le coup,
Maintenant, qu’j’suis censé être un homme,
J’en subis les contrecoups,
L’hygiaphone a fait des sienne,
Les grattes ont gagné le combat,
Et partout où la vie me mène,
Ça me démange le bout des doigts,
Je ne pourrais plus vivre,
Et perdre tout mon temps,
Je ne serais plus jamais libre,
Sans l’ivresse de ce présent
La musique est ma douleur,
Et le sang qui coule en moi,
Doucement elle attend son heure
Et je reste tout nu ici bas.
Je la laisse faire sa chienne
Comme envoûter par le vaudou
Elle me prend je la fais mienne
Et je la mords dans le cou
Je ne pourrais plus vivre,
Et perdre tout mon temps,
Je ne serais plus jamais libre,
Sans l’ivresse de ce présent
Dormi trop près du téléphone
Le virus ne m’a pas loupé
Et depuis je cherche en somme
Un autre monde où m’évader
Peut être un jour j’aurais mon heure
La gloire de n’être qu’un éclat
Le son et l’image en plein cœur
Mon vieux rêve au bout des doigts
Je ne pourrais plus vivre,
Et perdre tout mon temps,
Je ne serais plus jamais libre,
Sans l’ivresse de ce présent
Je ne pourrais plus vivre,
Et perdre tout mon temps,
Je ne serais plus jamais libre,
Sans l’ivresse de ce présent
Je ne pourrais plus vivre,
Et perdre tout mon temps,
Je ne serais plus jamais libre,
Sans l’ivresse de ce présent